Bertrand Cantat en concert pour la tournée de son premier album solo «Amor Fati», à Strasbourg, en mars 2018. L’ex-leader de Noir Désir Bertrand Cantat a perdu jeudi 16 janvier le procès en diffamation qu’il avait intenté contre l’hebdomadaire Le Point . Le 30 novembre 2017, au moment de la sortie du premier album solo de Bertrand Cantat, un article évoquait l’existence d’une « omerta » autour du comportement de l’artiste. Selon l’hebdomadaire, l’ex-leader de Noir Désir s’est montré violent envers plusieurs de ses compagnes, avant et après la mort de l’actrice Marie Trintignant. À Vilnius, en 2003, elle avait succombé à ses coups après une violente dispute. Bertrand Cantat avait été condamné à huit ans de prison. Il en a purgé quatre – dont un en Lituanie – avant de bénéficier d’une libération conditionnelle en 2007. Son contrôle judiciaire a pris fin en 2011. Dans son article, Le Point s’appuyait notamment sur le témoignage anonyme d’un « membre de Noir Désir » assurant que la femme de Bertrand Cantat, Kristina Rady, avait menti lors du procès. Elle aurait demandé aux membres du groupe de cacher ce qu’ils savaient, afin que les enfants du couple ne découvrent pas « que leur père était un homme violent ». À voir aussi – Bertrand Cantat fou: ce message troublant de son ex-femme Krisztina Rády (Non Stop People) Violentes colères Ce témoignage anonyme évoquait des violences envers Kristina Rady et deux anciennes compagnes, avant le décès de Marie Trintignant. Le Point faisait […]